mardi 18 septembre 2012

Grand Hôtel - Épisode 5

Et Mme de Florian de renchérir...


La jeune femme est superbe : grande, une poitrine plantureuse qui a peine à tenir dans la petite chemise ceintrée, une jupe qui moule son joli cul. Je suis stupéfaite de la beauté naturelle de cette fille qui semble peu consciente de son sex-appeal alors qu’elle avance avec un déhanchement provocateur vers la table pour y déposer le seau à champagne. Elle se penche en avant pour saisir la bouteille et son mouvement révèle un cul parfait : rond, blanc et soyeux. Je suis hypnotisée par ces fesses qui s’offrent si candidement.

Mes yeux quittent un instant le cul de la soubrette pour te regarder. Pervers! Un sourire coquin illumine ton visage. Je devine tes pensées. La mignonne ne semble pas se douter de l’effet qu’elle produit ou peut-être est-elle une experte et, son innocence, une feinte... Peu importe! Je vais le vérifier. Je sors du lit, flambant nue, mon cœur bat très fort, je marche vers elle, elle ne me voit pas. Elle nous tourne le dos. Toi, tu souris encore davantage et tu sors ta verge déjà palpitante de ton pantalon. Tu la caresses doucement au rythme de ma progression silencieuse vers le cul de l’insolente qui s’acharne à déboucher la bouteille.

Le bouchon fuse tout à coup dans la pièce et la mousse jaillit, surprenant la petite. Elle se retourne, confuse, prête à s’excuser de sa maladresse. Elle lâche la bouteille à terre en m’apercevant si proche d’elle. Elle rougit, elle bégaie... Que son émoi est joli! Elle fait un pas comme pour se sauver, mais elle s’immobilise. Sa stupeur accroit mon désir : mes seins se gonflent, mes mamelons se durcissent. Elle ne peut détacher son regard du mien. Je la fixe, intensément. Je ne te vois plus, mais je sens que tu es fébrile, que tu attends de moi la preuve de ma soumission. 

Elle ne t’a pas encore aperçu alors je me glisse en arrière d’elle et tandis qu’une de mes mains se faufile sous le tissu de la petite jupe, l’autre empoigne sa nuque et tourne sa tête sans ménagement vers toi. Elle comprend tout à coup quel rôle elle va jouer et je sens sous mes doigts ses cuisses brûlantes, sa chatte humide et douce. Je la pousse doucement vers ta queue tout en dégrafant son chemisier. Elle n’offre aucune résistance. Mes mains se saisissent de ses seins, elles les pétrissent, préparent ses mamelons à ta bouche. Tu es beau. Tu souris. Ta queue dure. J’ai envie de t’engloutir.

Nous sommes maintenant devant toi. Nues. Toutes les deux. À chaque pas qui nous sépare de toi, j’ai enlevé un de ses vêtements. Je pèse sur ses épaules pour qu’elle s’agenouille. Je m’agenouille aussi. Elle me regarde, un peu intimidée. Elle est désemparée. Je prends sa main, je la guide vers ton sexe dur tandis que j’y dépose mes lèvres et que je te prends avec gourmandise et avidité. 

Sa respiration se fait saccadée. Elle est prête. Je t’offre ma proie. Je me recule, un clin d’oeil. Elle comprend. Elle s’exécute, docile. Tu me félicites : «Ma splendide, ma précieuse, tu es ma petite salope adorée.» 


Notre poupée prend plaisir à ta queue, elle a du talent! Le plaisir que je ressens à ce moment est incomparable. Tu gémis, ton corps est parcouru de frissons. Tu ne m’as pas encore touchée, pourtant je sens une grande vague m’agiter. Je résiste à l’orgasme qui monte comme un spasme incontrôlable. Non, je ne veux pas jouir! Pas encore! Pas tout de suite!

Mademoiselle te suce avec délectation, elle entoure ton gland de sa langue agile, la coquine! Ses fesses se trémoussent devant moi et me donnent envie d’y mettre ma langue. Je m’allonge à terre, écarte ses cuisses, me glisse sous son sexe et trouve un petit bouton bien dressé, tout gonflé qui tressaille quand ma langue chaude vient le lécher. Son bassin ondule d’avant en arrière pour m’encourager à continuer. Je la tête, je la titille, je suçote ses lèvres, je me délecte de son jus, je salive, je me régale. 

Elle a délaissé un instant ta queue : «Oui, continue comme ça, oui, continue … Oh oui, c’est bon, continue continue...» Son accent est charmant, elle dit ses «u» comme des «ou».  Elle soupire, elle est proche de jouir.

Tu protestes : «Pas si vite, mes chéries!»

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