
Mes yeux quittent un instant le cul de la soubrette pour te regarder. Pervers! Un sourire coquin illumine ton visage. Je devine tes pensées. La mignonne ne semble pas se douter de l’effet qu’elle produit ou peut-être est-elle une experte et, son innocence, une feinte... Peu importe! Je vais le vérifier. Je sors du lit, flambant nue, mon cœur bat très fort, je marche vers elle, elle ne me voit pas. Elle nous tourne le dos. Toi, tu souris encore davantage et tu sors ta verge déjà palpitante de ton pantalon. Tu la caresses doucement au rythme de ma progression silencieuse vers le cul de l’insolente qui s’acharne à déboucher la bouteille.
Le bouchon fuse tout à
coup dans la pièce et la mousse jaillit, surprenant la petite. Elle se
retourne, confuse, prête à s’excuser de sa maladresse. Elle lâche la bouteille
à terre en m’apercevant si proche d’elle. Elle rougit, elle bégaie... Que son
émoi est joli! Elle fait un pas comme pour se sauver, mais elle s’immobilise.
Sa stupeur accroit mon désir : mes seins se gonflent, mes mamelons se
durcissent. Elle ne peut détacher son regard du mien. Je la fixe, intensément.
Je ne te vois plus, mais je sens que tu es fébrile, que tu attends de moi la
preuve de ma soumission.

Nous sommes maintenant
devant toi. Nues. Toutes les deux. À chaque pas qui nous sépare de toi, j’ai
enlevé un de ses vêtements. Je pèse sur ses épaules pour qu’elle s’agenouille.
Je m’agenouille aussi. Elle me regarde, un peu intimidée. Elle est désemparée.
Je prends sa main, je la guide vers ton sexe dur tandis que j’y dépose mes
lèvres et que je te prends avec gourmandise et avidité.
Sa respiration se
fait saccadée. Elle est prête. Je t’offre ma proie. Je me recule, un clin
d’oeil. Elle comprend. Elle s’exécute, docile. Tu me félicites : «Ma splendide,
ma précieuse, tu es ma petite salope adorée.»
Notre poupée prend plaisir à ta
queue, elle a du talent! Le plaisir que je ressens à ce moment est
incomparable. Tu gémis, ton corps est parcouru de frissons. Tu ne m’as pas
encore touchée, pourtant je sens une grande vague m’agiter. Je résiste à
l’orgasme qui monte comme un spasme incontrôlable. Non, je ne veux pas jouir!
Pas encore! Pas tout de suite!

Elle a délaissé un instant ta queue : «Oui, continue comme ça,
oui, continue … Oh oui, c’est bon, continue continue...» Son accent est
charmant, elle dit ses «u» comme des «ou».
Elle soupire, elle est proche de jouir.
Tu protestes : «Pas si vite, mes chéries!»
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