À vous de jouer, Monsieur_ V!

Ton cul ondule sous mes yeux. Il danse. Connaissant ton sens aigu pour la
rébellion, je décide à nouveau de nouer tes poignets avec un bas noir. Derrière
le dos. Tu ne dis plus rien. Tu attends, ton visage écrasé contre le lit, ton
souffle court.
Tu sens ma main qui caresse tes fesses. Elle caresse toute la superficie de ton cul. Douce. Tendre. Et sans prévenir, j'abats la première fessée, puis te caresse aussitôt après. Tes fesses rougissent à mesure que s'abattent les succulentes claques. Le rythme s'accélère, comme tes soupirs. Tu n'as pas mal. En fait, tu aimes énormément cela. Tu adores. Tu attends la prochaine fessée dans un mélange de crainte et d'excitation. Ma main glisse vers ta chatte. Tu es trempée.
Mon sexe est raide à en craquer. Le gland est dur. Tout comme mes couilles. Tu sais ce que je veux. Mais je veux te l'entendre dire. Tu me connais. Tu dis: "Monsieur, enculez-moi, s'il vous plait". Je te demande de répéter ta question. Tu dis: "S'il vous plait Monsieur, je vous en supplie, enculez-moi".
J'écarte tes fesses, caresse ton anus, enfonce un doigt, puis deux. Tout en caressant ta chatte. Tu gémis. Je t'ouvre les fesses et j'entre en toi, sans ménagement. Tu aimes cette sensation de te sentir chienne.
Tu aimes tellement cela que ton plaisir monte vite. Je te chevauche avec force, caressant ta poitrine gonflée, tes jambes, tes pieds. Tu es ouverte, mon sexe entre et sort de tes fesses comme il le ferait de ta chatte. Pendant de longues minutes, tu subis. Et tu jouis. Ton corps tremble.
Tout à coup, on frappe à la porte. Tu te retournes, interloquée, tu me souris. "Tu attendais quelqu'un?", me demandes-tu. Moi: "Non. Attends, je vais voir qui c'est." Je sors de toi, attrape mon pantalon, ma chemise, me rhabille à la hâte et me dirige vers la porte. Je l'ouvre. Une femme de chambre avec un seau à champagne et la bouteille adéquate me demande la permission d'entrer. "Offert par la maison", me dit cette charmante jeune femme blonde tout en entrant dans la chambre. Je referme la porte.
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