Mais pour qui se prend cette effrontée avec ses talons
et son arrogance? Elle croit que je vais la baiser là, sur le champ? Elle ne
semble visiblement pas connaitre les rouages de la soumission. Elle se croit
tout permis. Elle se trompe.
Je m'approche d'elle lentement, mon regard planté dans le sien. Elle rit comme une gamine à qui on a passé trop de caprices. Elle écarte un peu plus les jambes, fait trainer son index sur ses lèvres, ouvre légèrement la bouche pour l'y introduire, prend une pose encore plus provocante. Son regard se perd sur ma braguette. Elle voit le léger monticule, elle pourrait presque le toucher. Elle tend sa main vers mon pantalon alors que je m'approche d'elle.
J'attrape son poignet et la repousse sans la brusquer. Je continue de m'approcher. Mon visage presque contre le sien. Mon autre main a emprisonné son autre poignet. Elle se raidit. Elle n'est plus très fière. Sa poitrine gonflée touche mon torse. Ses tétons sont durs. Son souffle s'accélère. Je l'embrasse. Je lui mange la bouche. Nos langues se lient. De la salive coule le long de nos joues.
J'attrape ses épaules, la fais descendre de la table. Elle est à genoux. Elle me regarde timidement. Elle ne sait plus quoi faire. Je prends son visage entre mes mains. Je la caresse. Puis ses cheveux. Sa bouche. Que j'entrouvre avec mes doigts. Qu'elle commence à lécher.
Je descends à sa hauteur. Je suis face à elle. Je prends un bas noir que j'ai pris soin d'apporter avec moi. Je lui noue les poignets derrière le dos. Elle ne dit rien. Interloquée. Surprise.
Je suis à nouveau debout. Ma braguette face à sa
bouche. Elle se trémousse.
Je sors mon sexe tendu à craquer. Le décalotte. Le passe sur son visage. Elle ouvre sa bouche en grand.
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