Et en guise de conclusion, Madame de Florian...
La serveuse s'enhardit : elle me demande d'une voix rauque de jouer avec son anus et d'introduire l'objet que tu tenais entre tes mains en elle. «Minute... Ma belle!, t'exclames-tu. C'est moi qui décide ici de ton plaisir et du mien et... du sien...», ajoutes-tu en me faisant un clin d'oeil.
Même si tu fais semblant d'avoir le contrôle sur tout, tu es aussi excité que nous deux, le souffle court devant nos chattes ruisselantes. La chambre sent le cul et cette odeur de sexe intensifie nos sens.
Attendant que tu décides qui tu choisiras pour enfiler la tige de verre, elle se caresse le sexe, provocante, puis te montre le chemin, insistant du regard et insérant deux doigts dans mon cul. Elle es très douce et je prends du plaisir à ses caresses. Ceci facilite l'entrée du petit instrument de torture. Une fois complètement le gode enfoncé, elle cesse ses caresses et violemment dit : «Checke, nos croupes d'enfer ! Regarde cette belle salope, fourre-la! Ou prends-moi, mais crisse, décide-toi!»
Le cru de ses sacres inattendu te choque. Tu décides de la punir de ses exigences en lui liant les membres pour entraver ses mouvements et l'obliger à se soumettre. Une fois attachée, tu la prends en levrette les mains sur ses fesses. La petite darde son cul dans les airs comme pour te signifier qu'elle n'attendait que ça. Ah, la salope! Je croise son regard, il y a du défi au fond du sien, un désir d'abandon aussi : quelle impertinente quand même! Toi, tu souris, amusé de nous voir nous challenger et, pendant que tu la plantes de ton dard sans ménagement, elle fourre son visage dans ma chatte.
- Assez dégusté, ma jolie, amuse-toi avec ce joli cul qui n'attend que tu le satisfasses, lui ordonnes-tu en lui faisant signe de plonger le gode au rythme de tes incartades dans mon cul offert à sa bouche.
Mais tu n'en restes pas là : ta chevauchée s'accompagne de petites tapes. Le premier coup tombe, doux, puis le deuxième, plus fort, et le troisième encore davantage. Une brûlure soudaine sur le haut de ses fesses. elle décide de ne pas crier, tu apprécies. Elle serre les dents, elle s'accroche à ses liens, crispe ses muscles, jambes bien écartées et cambre ses reins. Tes mots durs affolent ses sens. Les miens aussi... et je sursaute à chaque coup de trique, et je mouille davantage... Je ne comprends pas ce qui m'arrive.... La petite me regarde intensément, presque amoureusement. Je lui rends son regard, tandis que les coups se succédent. Elle ne hurle pas. On dirait même qu'elle en veut encore, encore plus...
-Tu aimes les coups? Prends celui-là! Et celui-là!
Elle tire sur ses liens et vacille un peu, alors tes mains se font caressantes, effleurent son dos, ses épaules, sa nuque, une boucle de ses cheveux... Ses lèvres soudain se précipitent sur tes doigts, les léchant, les mordillant, comme pour te remercier de lui faire vivre tant de bonheur. Elle t'aime, je le vois... Elle est conquise, elle est ta pute! Tu as gagné! Tu souris... Ah! Cette lueur espiègle dans ton regard, je la reconnais, c'est celle du maître!
Comme pour assurer ta victoire, tu lui assènes une dernière claque qui résonne entre nos cris de jouissance. Tout à coup, j'ai peur. Pas elle! Elle qui redouble d'ardeur, enfonçant sa langue dardante entre mes grandes lèvres, se repaissant de cet instant de partage si intense. Mon abricot dégouline dans sa bouche, ma petite chatte rose, engloutie dans ses baisers gourmands.
Elle hurle maintenant, moi aussi! Elle se cambre jouissant de toute son âme. Et je la suis dans ses arabesques. Dans un dernier élan, tu sors ta bite de son cul en feu et tu vides ta semence sur nous, tes deux putains, agenouillées, épuisées, tremblantes... enfin soumises.
J'ai envie de rester ainsi, nue sur ce grand lit souillé de ton sperme et de nos jus. À jamais je suis ta chienne, je ne me poserai plus de question. Désormais, ta volonté sera mienne. Entre nous, il n'y aura plus que le plaisir et je jouirai avec toi de toutes les perversités.
Je prononce enfin la phrase qui te comble : «Merci, Maître... Merci!»