lundi 24 septembre 2012

Épisode 7- Grand Hôtel- La finale

Et en guise de conclusion, Madame de Florian...


La serveuse s'enhardit : elle me demande d'une voix rauque de jouer avec son anus et d'introduire l'objet que tu tenais entre tes mains en elle. «Minute... Ma belle!, t'exclames-tu. C'est moi qui décide ici de ton plaisir et du mien et... du sien...», ajoutes-tu en me faisant un clin d'oeil. 

Même si tu fais semblant d'avoir le contrôle sur tout, tu es aussi excité que nous deux, le souffle court devant nos chattes ruisselantes. La chambre sent le cul et cette odeur de sexe intensifie nos sens. 

Attendant que tu décides qui tu choisiras pour enfiler la tige de verre, elle se caresse le sexe, provocante, puis te montre le chemin, insistant du regard et insérant deux doigts dans mon cul. Elle es très douce et je prends du plaisir à ses caresses. Ceci facilite l'entrée du petit instrument de torture. Une fois complètement le gode enfoncé, elle cesse ses caresses et violemment dit : «Checke, nos croupes d'enfer ! Regarde cette belle salope, fourre-la! Ou prends-moi, mais crisse, décide-toi!»



Le cru de ses sacres inattendu te choque. Tu décides de la punir de ses exigences en lui liant les membres pour entraver ses mouvements et l'obliger à se soumettre. Une fois attachée, tu la prends en levrette les mains sur ses fesses. La petite darde son cul dans les airs comme pour te signifier qu'elle n'attendait que ça. Ah, la salope! Je croise son regard, il y a du défi au fond du sien, un désir d'abandon aussi : quelle impertinente quand même! Toi, tu souris, amusé de nous voir nous challenger et, pendant que tu la plantes de ton dard sans ménagement, elle fourre son visage dans ma chatte. 



- Assez dégusté, ma jolie, amuse-toi avec ce joli cul qui n'attend que tu le satisfasses, lui ordonnes-tu en lui faisant signe de plonger le gode au rythme de tes incartades dans mon cul offert à sa bouche. 

Mais tu n'en restes pas là : ta chevauchée s'accompagne de petites tapes. Le premier coup tombe, doux, puis le deuxième, plus fort, et le troisième encore davantage. Une brûlure soudaine sur le haut de ses fesses. elle décide de ne pas crier, tu apprécies. Elle serre les dents, elle s'accroche à ses liens, crispe ses muscles, jambes bien écartées et cambre ses reins. Tes mots durs affolent ses sens. Les miens aussi... et je sursaute à chaque coup de trique, et je mouille davantage... Je ne comprends pas ce qui m'arrive.... La petite me regarde intensément, presque amoureusement. Je lui rends son regard, tandis que les coups se succédent. Elle ne hurle pas. On dirait même qu'elle en veut encore, encore plus... 

-Tu aimes les coups? Prends celui-là! Et celui-là!

Elle tire sur ses liens et vacille un peu, alors tes mains se font caressantes, effleurent son dos, ses épaules, sa nuque, une boucle de ses cheveux... Ses lèvres soudain se précipitent sur tes doigts, les léchant, les mordillant, comme pour te remercier de lui faire vivre tant de bonheur. Elle t'aime, je le vois... Elle est conquise, elle est ta pute! Tu as gagné! Tu souris... Ah! Cette lueur espiègle dans ton regard, je la reconnais, c'est celle du maître!

Comme pour assurer ta victoire, tu lui assènes une dernière claque qui résonne entre nos cris de jouissance. Tout à coup, j'ai peur. Pas elle! Elle qui redouble d'ardeur, enfonçant sa langue dardante entre mes grandes lèvres, se repaissant de cet instant de partage si intense. Mon abricot dégouline dans sa bouche, ma petite chatte rose, engloutie dans ses baisers gourmands.

Elle hurle maintenant, moi aussi! Elle se cambre jouissant de toute son âme. Et je la suis dans ses arabesques. Dans un dernier élan,  tu sors ta bite de son cul en feu et tu vides ta semence sur nous, tes deux putains, agenouillées, épuisées, tremblantes... enfin soumises.

J'ai envie de rester ainsi, nue sur ce grand lit souillé de ton sperme et de nos jus. À jamais je suis ta chienne, je ne me poserai plus de question. Désormais, ta volonté sera mienne. Entre nous, il n'y aura plus que le plaisir et je jouirai avec toi de toutes les perversités. 

Je prononce enfin la phrase qui te comble : «Merci, Maître... Merci!»





Grand Hôtel - Épisode 6

Monsieur_V poursuivit...



Pas si vite, en effet.

Je ne suis pas ici pour me faire dicter ma conduite par deux petites chiennes qui doivent avant tout m'obéir. J'interromps vos amabilités, vous relève contre moi et vous entraine, main dans la main, vers le canapé. Je m'y installe, et vous dispose chacune d'un côté. Ma queue est dure, rouge, le gland est brillant. Je vous prends par la nuque et attire vos bouches sur ma bite. Vous lapez ensemble, puis chacune votre tour, puis ensemble à nouveau. Vos salives se mélangent sur mon gland, vos doigts agacent mes couilles, cherchent mon anus. Surtout la petite poupée qui s'y attarde nonchalamment.

Je la fais descendre à genoux devant moi, je relève mes jambes et je lui donne mon cul à lécher. Elle y fourre son nez, avide. Tu n'as rien perdu de la scène. Tu es encore plus mouillée. Je te fais mettre debout, descends ta chatte à hauteur de ma bouche, et lèche tes lèvres, ton bouton, ta mouille qui coule un peu le long de tes cuisses. Les odeurs se mélangent. La cyprine concurrence ma propre mouille.

Mais je ne veux pas jouir maintenant. Il reste tant à faire.




J'interromps la scène quand je décide de ce que je veux voir maintenant. Tu m'as fait l'honneur d'apporter un énorme godemiché, long de 40 centimètres, à deux côtés. Je vous dispose, vous mes deux charmantes poupées, chatte contre chatte, et introduit l'objet dans vos chattes ruisselantes respectives. Bien vite, vos bassins ondulent. Le gode sort d'une chatte pour entrer dans l'autre. Vos doigts caressent vos clitoris respectifs. Vous agrippez vos hanches pour mieux sentir la longueur vous empaler. Vos râles sont impressionnants. Vous n'êtes plus que deux chiennes qui vont devoir employer toute leur persuasion pour arriver à recueillir ma jouissance.


Oui, faites donc preuve de persuasion. Voyons.




mardi 18 septembre 2012

Grand Hôtel - Épisode 5

Et Mme de Florian de renchérir...


La jeune femme est superbe : grande, une poitrine plantureuse qui a peine à tenir dans la petite chemise ceintrée, une jupe qui moule son joli cul. Je suis stupéfaite de la beauté naturelle de cette fille qui semble peu consciente de son sex-appeal alors qu’elle avance avec un déhanchement provocateur vers la table pour y déposer le seau à champagne. Elle se penche en avant pour saisir la bouteille et son mouvement révèle un cul parfait : rond, blanc et soyeux. Je suis hypnotisée par ces fesses qui s’offrent si candidement.

Mes yeux quittent un instant le cul de la soubrette pour te regarder. Pervers! Un sourire coquin illumine ton visage. Je devine tes pensées. La mignonne ne semble pas se douter de l’effet qu’elle produit ou peut-être est-elle une experte et, son innocence, une feinte... Peu importe! Je vais le vérifier. Je sors du lit, flambant nue, mon cœur bat très fort, je marche vers elle, elle ne me voit pas. Elle nous tourne le dos. Toi, tu souris encore davantage et tu sors ta verge déjà palpitante de ton pantalon. Tu la caresses doucement au rythme de ma progression silencieuse vers le cul de l’insolente qui s’acharne à déboucher la bouteille.

Le bouchon fuse tout à coup dans la pièce et la mousse jaillit, surprenant la petite. Elle se retourne, confuse, prête à s’excuser de sa maladresse. Elle lâche la bouteille à terre en m’apercevant si proche d’elle. Elle rougit, elle bégaie... Que son émoi est joli! Elle fait un pas comme pour se sauver, mais elle s’immobilise. Sa stupeur accroit mon désir : mes seins se gonflent, mes mamelons se durcissent. Elle ne peut détacher son regard du mien. Je la fixe, intensément. Je ne te vois plus, mais je sens que tu es fébrile, que tu attends de moi la preuve de ma soumission. 

Elle ne t’a pas encore aperçu alors je me glisse en arrière d’elle et tandis qu’une de mes mains se faufile sous le tissu de la petite jupe, l’autre empoigne sa nuque et tourne sa tête sans ménagement vers toi. Elle comprend tout à coup quel rôle elle va jouer et je sens sous mes doigts ses cuisses brûlantes, sa chatte humide et douce. Je la pousse doucement vers ta queue tout en dégrafant son chemisier. Elle n’offre aucune résistance. Mes mains se saisissent de ses seins, elles les pétrissent, préparent ses mamelons à ta bouche. Tu es beau. Tu souris. Ta queue dure. J’ai envie de t’engloutir.

Nous sommes maintenant devant toi. Nues. Toutes les deux. À chaque pas qui nous sépare de toi, j’ai enlevé un de ses vêtements. Je pèse sur ses épaules pour qu’elle s’agenouille. Je m’agenouille aussi. Elle me regarde, un peu intimidée. Elle est désemparée. Je prends sa main, je la guide vers ton sexe dur tandis que j’y dépose mes lèvres et que je te prends avec gourmandise et avidité. 

Sa respiration se fait saccadée. Elle est prête. Je t’offre ma proie. Je me recule, un clin d’oeil. Elle comprend. Elle s’exécute, docile. Tu me félicites : «Ma splendide, ma précieuse, tu es ma petite salope adorée.» 


Notre poupée prend plaisir à ta queue, elle a du talent! Le plaisir que je ressens à ce moment est incomparable. Tu gémis, ton corps est parcouru de frissons. Tu ne m’as pas encore touchée, pourtant je sens une grande vague m’agiter. Je résiste à l’orgasme qui monte comme un spasme incontrôlable. Non, je ne veux pas jouir! Pas encore! Pas tout de suite!

Mademoiselle te suce avec délectation, elle entoure ton gland de sa langue agile, la coquine! Ses fesses se trémoussent devant moi et me donnent envie d’y mettre ma langue. Je m’allonge à terre, écarte ses cuisses, me glisse sous son sexe et trouve un petit bouton bien dressé, tout gonflé qui tressaille quand ma langue chaude vient le lécher. Son bassin ondule d’avant en arrière pour m’encourager à continuer. Je la tête, je la titille, je suçote ses lèvres, je me délecte de son jus, je salive, je me régale. 

Elle a délaissé un instant ta queue : «Oui, continue comme ça, oui, continue … Oh oui, c’est bon, continue continue...» Son accent est charmant, elle dit ses «u» comme des «ou».  Elle soupire, elle est proche de jouir.

Tu protestes : «Pas si vite, mes chéries!»

dimanche 16 septembre 2012

Grand Hôtel - Épisode 4


À vous de jouer, Monsieur_ V! 


Tu es maintenant immobile. Tu essayes de t'échapper, mais je te tiens fermement les bras. Tu secoues la tête dans l'oreiller, tu cries "Non" tout en pensant "Oui".
Ton cul ondule sous mes yeux. Il danse. Connaissant ton sens aigu pour la rébellion, je décide à nouveau de nouer tes poignets avec un bas noir. Derrière le dos. Tu ne dis plus rien. Tu attends, ton visage écrasé contre le lit, ton souffle court.




Tu sens ma main qui caresse tes fesses. Elle caresse toute la superficie de ton cul. Douce. Tendre. Et sans prévenir, j'abats la première fessée, puis te caresse aussitôt après. Tes fesses rougissent à mesure que s'abattent les succulentes claques. Le rythme s'accélère, comme tes soupirs. Tu n'as pas mal. En fait, tu aimes énormément cela. Tu adores. Tu attends la prochaine fessée dans un mélange de crainte et d'excitation. Ma main glisse vers ta chatte. Tu es trempée.


Mon sexe est raide à en craquer. Le gland est dur. Tout comme mes couilles. Tu sais ce que je veux. Mais je veux te l'entendre dire. Tu me connais. Tu dis: "Monsieur, enculez-moi, s'il vous plait". Je te demande de répéter ta question. Tu dis: "S'il vous plait Monsieur, je vous en supplie, enculez-moi".


J'écarte tes fesses, caresse ton anus, enfonce un doigt, puis deux. Tout en caressant ta chatte. Tu gémis. Je t'ouvre les fesses et j'entre en toi, sans ménagement. Tu aimes cette sensation de te sentir chienne.
Tu aimes tellement cela que ton plaisir monte vite. Je te chevauche avec force, caressant ta poitrine gonflée, tes jambes, tes pieds. Tu es ouverte, mon sexe entre et sort de tes fesses comme il le ferait de ta chatte. Pendant de longues minutes, tu subis. Et tu jouis. Ton corps tremble.



Tout à coup, on frappe à la porte. Tu te retournes, interloquée, tu me souris. "Tu attendais quelqu'un?", me demandes-tu. Moi: "Non. Attends, je vais voir qui c'est." Je sors de toi, attrape mon pantalon, ma chemise, me rhabille à la hâte et me dirige vers la porte. Je l'ouvre. Une femme de chambre avec un seau à champagne et la bouteille adéquate me demande la permission d'entrer. "Offert par la maison", me dit cette charmante jeune femme blonde tout en entrant dans la chambre. Je referme la porte.

Grand Hôtel - Épisode 3


Et Madame de Florian poursuivit...


Un moment d’effarement, d’affolement, j’ai perdu le contrôle, j’ai flanché, je me suis laissé prendre : à genoux, ligotée, son sexe dur dans ma bouche. Ma langue qui lèche et lèche encore, lentement, attentive à ne négliger aucune parcelle de sa peau. 

Ses couilles dans ma bouche aussi. Gonflées, pleines de la semence qui maculera bientôt mon visage. 
Je suce et engloutis son sexe jusqu’au fond de ma gorge.  

J’entends son souffle, plus saccadé, ses gémissements me rendent folle. Il flatte mes cheveux, pose par moments sa main puissante sur ma nuque me forçant à l’avaler plus profondément. J’ai du mal à respirer, mon esprit se brouille. Je suis à lui. Sa chose. Je me sens pute. Je suis sa chienne. «Ma belle garce. Tu suces aussi bien que tu uses de la métaphore. Tu es ma révélation du printemps. Mon Femina. Ma sexquise... »

Son assurance, sa façon de me regarder et de me traiter comme si je lui devais tout, comme si mon air se prenait à son sexe, comme si mon plaisir ne pouvait exister sans lui. C’est fou. Je divague complètement. Je craque littéralement. Mes repères s’évanouissent et je bascule. J’inonde le parquet de noyer.

Sans ménagement, il me tire par les cheveux, me jette sur le lit, me retourne, écarte mes jambes et enfonce deux doigts dans ma chatte. Je suffoque, je râle, je lui demande de me libérer. Il répond : «Pas encore, salope!»

Je me surprends à aimer ces mots durs, crus… Encore... Plus il me brasse, plus je mouille.

Ma chatte coule abondamment. Je m’entends murmurer : «Prends-moi. J’en peux plus.»

Alors sa queue, large, prête à exploser, remplace ses doigts. Va-et-vient vigoureux, intenses. Chaque coup de bassin me fait hurler. Il me claque les fesses, il me défonce. Sauvagement. Puis il ralentit, prend son temps, explore tranquillement mon intimité. Il effleure de son gland mon point G et, avec un doigté de virtuose, y décide d'harmonies subtiles, compose une symphonie. 

Mon souffle est court. Ma bouche est béante, aucun son n’en sort plus. J’avale l’air comme un animal à l’agonie. Mon clitoris, ma chatte, mes cuisses, mes reins, tout mon corps : frissons et sueur sur chaque centimètre de mon épiderme. 

Je sens son cœur qui bat dans ma chatte, qui résonne dans mon ventre. Son gland cogne le fond de mon vagin, tam-tam qui affole mon coeur.  Mon sexe est une rivière en crue. Mon ventre, un volcan qui rugit. Il plaque sa bouche sur mon sexe, bouche ventouse, avide, goulue, il me mange d'un appétit féroce.  Il me boit. d'une soif inextinguible. Je suis son elixir, sa fontaine, son nectar de plaisir. Je défaille...


Il s’allonge à côté de moi et dépose sa tête sur mon ventre. Il joue avec mes longues mèches brunes, les enroulant autour de ses doigts. Puis, délicatement, le long de ma mâchoire, avec une douceur inattendue, mon visage dans ses mains. Son regard me perce l’âme. Sa voix est tout à coup tendre. Il embrasse mes yeux, mon front, mes joues...

Je dois partir d’ici! Je vais mourir si je reste! Parce que je suis perdue, parce que si je reste deux minutes de plus dans ses bras, je suis finie... 

Je  tourne la tête, je dégage mon visage de son étreinte, je lui refuse ma bouche. Il prend ma fuite pour une provocation. Son regard devient dur. Il ordonne : «Embrasse-moi!» Je secoue la tête. «Non! Je veux pas. Libère-moi.» Il prend chacun de mes mots pour une provocation avouée. Il répète encore une fois. J’essaie de me relever. Il plaque mon corps sur le lit, écrase mon visage dans l’oreiller, relève mes fesses contre son sexe.


«Tu l’auras voulu!»