samedi 12 avril 2014

Et souffle le vent! (épisode 1)


« Et tant que l’on n’a pas expérimenté un nombre suffisant d’êtres humains, hommes ou femmes, on ne sait pas où l’on s’arrête en amour. Des inconnues dorment en nous dont beaucoup ne s’éveilleront jamais.». 

«Dès la première minute de l'attente, je suis entrée dans le délectable processus du plaisir. Je vivais ce que l'existence peut offrir de meilleur et j'en étais consciente. Ce soir-là, en toute folie, j'aurais renoncé à dix ans de ma vie - mettons cinq ! - pour que rien ne vienne entraver le déroulement de la pièce que nous allions jouer et où aucun de nous deux ne savait encore son rôle.»
Benoite Groulx, les Vaisseaux du coeur


À M.B

Grisaille dehors : le ciel est bouché, plus d'horizon. Ça fait deux jours qu'il pleut sans relâche. Au sol, encore cette blancheur partout. L'hiver qui n'en finit plus de finir après six longs mois. Mathilde s'ennuie. Elle soupire en tournant la cuillère dans son café comme si au fond de sa tasse allait surgir la solution à la morosité ambiante. Voilà un mois qu'elle n'a pas joui. En fait, un mois que personne ne l'a touchée, lêchée, mangée, baisée comme il se doit et comme son beau cul le mérite. Un mois qu'elle perd à niaiser sur Internet à étudier le profil du candidat parfait, celui qui aura le physique d'Apollon et le Q.I d'Eisntein, qui la fera vibrer des pieds à la tête, une fois deux fois, trois fois, autant de fois que son souffle le lui permettra. Mais comme son champion se fait désirer, c'est son gode qui, tous les soirs, la fait se tortiller durant quelques minutes : elle se contente d'une petite vite facile, placebo bien minable, juste bon pour lui tirer quelques cris et pacifier ses tensions jusqu'au lendemain. Mais là, aujourd'hui, peut-être à cause de ce déluge qui l'a maintenue cloîtrée dans la maison pendant 48 heures, elle en a marre. Marre d'attendre. Marre de se consumer. Marre de perdre son temps. Elle veut s'envoyer en l'air. Alors exit Apollon! Exit Einstein. Elle veut une verge à masturber, une paire de fesses à agripper, un dos à lacérer. Elle veut un mec dans sa chatte et un dans son cul. Elle en veut trois, quatre, cinq, qui la prennent à tour de rôle jusqu'à ce qu'elle s'endorme, épuisée de mille et un orgasmes. Elle veut qu'on l'attache, qu'on la baillonne, qu'on lui bande les yeux, qu'on la fasse languir, qu'on l'étonne!

Elle se surprend à regarder des vidéos pornos où une actrice, fausse blonde aux gros seins, lui donne des envies lesbiennes. Elle s'imagine une cravache à la main, fouettant avec un air supérieur le cul de la salope, et ces mots crus qui sortent tout naturellement comme si elle en avait l'habitude : «T'aime ça être une bonne petite chienne? Hein? Allez, ma jolie, amène tes fesses que j'y fourre ma langue!». Elle filme le tout, il va sans dire, pour garder des traces de ses envies perverses et se les repasser en boucle pour agrémenter ses soirées solitaires. 

Plus d'espresso dans la tasse, la cuillère sonne contre le grès. Petit bruit sec et retour à la réalité. Bye bye les gang bangs, bye bye la pitoune de luxe, bye bye les mots crus. Mince alors, pas une autre soirée sans sexe, sa santé mentale en dépend! 

Sans trop savoir pourquoi, sur l'écran de son cellulaire défile la liste de ses contacts. Elle passe en revue les amants potentiels, disposés, disponibles, ceux qui lui ont laissé un bon souvenir ou un petit pincement au coeur... Soupirs... Elle envoie un texto, deux et puis trois, quatre, frénétiquement! Et puis, rien. Pas une réponse, rien, nada, elle fixe l'écran noir de son cellulaire, l'oeil hagard, mouillé, FUCK!

Machinalement, pour éviter de pleurer vraiment, elle se connecte au réseau sur lequel elle chasse depuis quelques semaines. La salle de chat est pleine, pas mal d'habitués, elle commence à en connaître une coupe qui la saluent à chacun de ses passages. Bon, civilités d'usage et puis là, soudain, comme un cadeau qu'on n'attend plus : lui. Oui, lui. Son profil dit en couple, grand, mince, mignon et à converser avec lui elle le devine, distingué, calme, pas commun. Cyrille, il s'appelle. Jase, jase, jase, c'est agréable, mais ça ne règle pas ses envies libidineuses... Elle annonce qu'elle va se coucher, qu'un mal de dos horrible l'en a empêchée la veille, qu'elle est fatiguée et se prédit qu'une fois encore, c'est son bon copain de latex qui la soulagera, car après tout, Cyrille, t'es pas tout à fait disponible, hein? Tu peux pas, n'est-ce pas?...

Pour la retenir ou à cause de ce qu'elle vient de dire, Cyrille lui propose un massage. Mais un vrai de vrai, pas un petit flattage d'épiderme pour finalement la fourrer. Non. Un vrai massage de spécialiste, pour atténuer ses douleurs. Il lui laisse son numéro de cellulaire pour prendre rendez-vous. Sur sa boite vocale, sa voix est chaude et enveloppante. Il la rappellera. Demain.

Elle est au travail quand Cyrille retourne son appel. C'est vendredi et Mathilde décide qu'elle se paie un après-midi de congé à se faire dorloter sous les mains du beau massothérapeute. Rendez-vous pris, elle a un petit sourire en coin quand elle raccroche le combiné.


Vendredri enfin 15h : une porte au bout du couloir silencieux est ouverte, le bruit mat de ses talons, Mathilde y est et elle est certaine de son coup : pantalon moulant, yeux de biche, un soupçon de parfum vanillé, good job comme dirait son amie Sophie. Elle fait mouche. Elle le voit, elle le sent quand ils échangent le premier regard. Elle est presque certaine qu'il la veut. Patience.... Sourire de satisfaction de la polissonne. Elle se déshabille, s'allonge sur la table, prête à s'abandonner, rêvant aux délices qui vont égayer son après-midi : c'est la première fois qu'un homme la masse; la première fois qu'un homme se donne à elle ainsi, aussi. Elle se surprend : elle est là, totalement là, présente, attentive, mais sereine et confiante. Cyrille peut commencer. Il s'en tient au massage, professionnel, enchaînant les manoeuvres sur ses muscles endoloris : effleurage, foulage, pétrissage, percussion. Sa voix en un murmure lui intime de prendre de grandes respirations. Les pressions régulières de ses mains sur son corps, la façon qu'il a de l'envelopper par ses bras, la sensualité de l'huile, la musique des guitares et des voix errailées de Munford & sons, il laisse libre cours à ses doigts, mouvements tantôt doux tantôt fermes, apprivoisant ses courbes tranquillement. Soupir mal contenu, Mathilde apprécie, mais Cyrille fait en sorte que les choses ne dérapent pas, lui-même conscient qu'elle partage le désir qu'il sent vibrer sous ses paumes. Magie de l'équivoque...

Mathilde sent ses pulsions charnelles se réveiller, encore plus vives que la veille. Rien dans les gestes de Cyrille pour la rendre à la somnolence des sens... surtout que maintenant qu'elle est couchée sur le dos, son visage s'approche dangeureusement du sien. Elle respire son souffle et se retient pour ne pas sortir ses mains de dessous la couverte pour l'attirer à sa bouche. Il plonge ses mains sous son dos et le drap qui recouvre sa poitrine descend imperceptiblement. Elle voudrait qu'il descende encore plus et que ses seins jaillissent, tétons érigés, agressifs et impudiques. Qu'il les saisisse du bout des doigts, qu'il les pince, qu'il les morde pour les faire gonfler et durcir! Elle se laisse aller à sa rêverie délicieuse. S'il glissait sa main jusqu'à sa vulve, il sentirait comme elle est mouillée. Mais au lieu de plonger vers sa caverne inondée, il remonte le drap pour l'emmitouffler. Elle sent son souffle se glisser dans son cou, ouiiiiii, ça y est, enfin, bon, il va l'embrasser! Mais non, juste ces trois mots qui tombent comme une sentence : voilà, c'est fini.








mardi 3 décembre 2013

Torride même lorsque tu n'y es pas...




Matinée étourdissante à finaliser un texte important, lunch rapide et cet autre dossier que je dois compléter.... Pourtant, une seule chose en tête qui m'incite à fermer les yeux quelques secondes...

Suffisant pour que jaillisse en moi ce désir incontrôlable de te contrôler. Tu es là, devant moi à ma grande surprise, regardant par la fenêtre et attendant que je t'ouvre. 

L'instant suivant, ayant seulement pris la peine d'ouvrir ton manteau, tu exhibes à mon visage une dentelle affriolante ne contenant que trop bien un soyeux buste à la pointe dressée...

Dressé est également mon membre, entassé dans un boxer inconfortable, comme s'il hurlait sa soif de profiter de tes douces et audacieuses attentions....

J'ouvre les yeux, tu n'y es plus, tu n'y as d'ailleurs jamais été et pourtant, je ressens encore tes mains vicieuses contre mon corps surexcité...

Bonne journée

lundi 24 septembre 2012

Épisode 7- Grand Hôtel- La finale

Et en guise de conclusion, Madame de Florian...


La serveuse s'enhardit : elle me demande d'une voix rauque de jouer avec son anus et d'introduire l'objet que tu tenais entre tes mains en elle. «Minute... Ma belle!, t'exclames-tu. C'est moi qui décide ici de ton plaisir et du mien et... du sien...», ajoutes-tu en me faisant un clin d'oeil. 

Même si tu fais semblant d'avoir le contrôle sur tout, tu es aussi excité que nous deux, le souffle court devant nos chattes ruisselantes. La chambre sent le cul et cette odeur de sexe intensifie nos sens. 

Attendant que tu décides qui tu choisiras pour enfiler la tige de verre, elle se caresse le sexe, provocante, puis te montre le chemin, insistant du regard et insérant deux doigts dans mon cul. Elle es très douce et je prends du plaisir à ses caresses. Ceci facilite l'entrée du petit instrument de torture. Une fois complètement le gode enfoncé, elle cesse ses caresses et violemment dit : «Checke, nos croupes d'enfer ! Regarde cette belle salope, fourre-la! Ou prends-moi, mais crisse, décide-toi!»



Le cru de ses sacres inattendu te choque. Tu décides de la punir de ses exigences en lui liant les membres pour entraver ses mouvements et l'obliger à se soumettre. Une fois attachée, tu la prends en levrette les mains sur ses fesses. La petite darde son cul dans les airs comme pour te signifier qu'elle n'attendait que ça. Ah, la salope! Je croise son regard, il y a du défi au fond du sien, un désir d'abandon aussi : quelle impertinente quand même! Toi, tu souris, amusé de nous voir nous challenger et, pendant que tu la plantes de ton dard sans ménagement, elle fourre son visage dans ma chatte. 



- Assez dégusté, ma jolie, amuse-toi avec ce joli cul qui n'attend que tu le satisfasses, lui ordonnes-tu en lui faisant signe de plonger le gode au rythme de tes incartades dans mon cul offert à sa bouche. 

Mais tu n'en restes pas là : ta chevauchée s'accompagne de petites tapes. Le premier coup tombe, doux, puis le deuxième, plus fort, et le troisième encore davantage. Une brûlure soudaine sur le haut de ses fesses. elle décide de ne pas crier, tu apprécies. Elle serre les dents, elle s'accroche à ses liens, crispe ses muscles, jambes bien écartées et cambre ses reins. Tes mots durs affolent ses sens. Les miens aussi... et je sursaute à chaque coup de trique, et je mouille davantage... Je ne comprends pas ce qui m'arrive.... La petite me regarde intensément, presque amoureusement. Je lui rends son regard, tandis que les coups se succédent. Elle ne hurle pas. On dirait même qu'elle en veut encore, encore plus... 

-Tu aimes les coups? Prends celui-là! Et celui-là!

Elle tire sur ses liens et vacille un peu, alors tes mains se font caressantes, effleurent son dos, ses épaules, sa nuque, une boucle de ses cheveux... Ses lèvres soudain se précipitent sur tes doigts, les léchant, les mordillant, comme pour te remercier de lui faire vivre tant de bonheur. Elle t'aime, je le vois... Elle est conquise, elle est ta pute! Tu as gagné! Tu souris... Ah! Cette lueur espiègle dans ton regard, je la reconnais, c'est celle du maître!

Comme pour assurer ta victoire, tu lui assènes une dernière claque qui résonne entre nos cris de jouissance. Tout à coup, j'ai peur. Pas elle! Elle qui redouble d'ardeur, enfonçant sa langue dardante entre mes grandes lèvres, se repaissant de cet instant de partage si intense. Mon abricot dégouline dans sa bouche, ma petite chatte rose, engloutie dans ses baisers gourmands.

Elle hurle maintenant, moi aussi! Elle se cambre jouissant de toute son âme. Et je la suis dans ses arabesques. Dans un dernier élan,  tu sors ta bite de son cul en feu et tu vides ta semence sur nous, tes deux putains, agenouillées, épuisées, tremblantes... enfin soumises.

J'ai envie de rester ainsi, nue sur ce grand lit souillé de ton sperme et de nos jus. À jamais je suis ta chienne, je ne me poserai plus de question. Désormais, ta volonté sera mienne. Entre nous, il n'y aura plus que le plaisir et je jouirai avec toi de toutes les perversités. 

Je prononce enfin la phrase qui te comble : «Merci, Maître... Merci!»





Grand Hôtel - Épisode 6

Monsieur_V poursuivit...



Pas si vite, en effet.

Je ne suis pas ici pour me faire dicter ma conduite par deux petites chiennes qui doivent avant tout m'obéir. J'interromps vos amabilités, vous relève contre moi et vous entraine, main dans la main, vers le canapé. Je m'y installe, et vous dispose chacune d'un côté. Ma queue est dure, rouge, le gland est brillant. Je vous prends par la nuque et attire vos bouches sur ma bite. Vous lapez ensemble, puis chacune votre tour, puis ensemble à nouveau. Vos salives se mélangent sur mon gland, vos doigts agacent mes couilles, cherchent mon anus. Surtout la petite poupée qui s'y attarde nonchalamment.

Je la fais descendre à genoux devant moi, je relève mes jambes et je lui donne mon cul à lécher. Elle y fourre son nez, avide. Tu n'as rien perdu de la scène. Tu es encore plus mouillée. Je te fais mettre debout, descends ta chatte à hauteur de ma bouche, et lèche tes lèvres, ton bouton, ta mouille qui coule un peu le long de tes cuisses. Les odeurs se mélangent. La cyprine concurrence ma propre mouille.

Mais je ne veux pas jouir maintenant. Il reste tant à faire.




J'interromps la scène quand je décide de ce que je veux voir maintenant. Tu m'as fait l'honneur d'apporter un énorme godemiché, long de 40 centimètres, à deux côtés. Je vous dispose, vous mes deux charmantes poupées, chatte contre chatte, et introduit l'objet dans vos chattes ruisselantes respectives. Bien vite, vos bassins ondulent. Le gode sort d'une chatte pour entrer dans l'autre. Vos doigts caressent vos clitoris respectifs. Vous agrippez vos hanches pour mieux sentir la longueur vous empaler. Vos râles sont impressionnants. Vous n'êtes plus que deux chiennes qui vont devoir employer toute leur persuasion pour arriver à recueillir ma jouissance.


Oui, faites donc preuve de persuasion. Voyons.




mardi 18 septembre 2012

Grand Hôtel - Épisode 5

Et Mme de Florian de renchérir...


La jeune femme est superbe : grande, une poitrine plantureuse qui a peine à tenir dans la petite chemise ceintrée, une jupe qui moule son joli cul. Je suis stupéfaite de la beauté naturelle de cette fille qui semble peu consciente de son sex-appeal alors qu’elle avance avec un déhanchement provocateur vers la table pour y déposer le seau à champagne. Elle se penche en avant pour saisir la bouteille et son mouvement révèle un cul parfait : rond, blanc et soyeux. Je suis hypnotisée par ces fesses qui s’offrent si candidement.

Mes yeux quittent un instant le cul de la soubrette pour te regarder. Pervers! Un sourire coquin illumine ton visage. Je devine tes pensées. La mignonne ne semble pas se douter de l’effet qu’elle produit ou peut-être est-elle une experte et, son innocence, une feinte... Peu importe! Je vais le vérifier. Je sors du lit, flambant nue, mon cœur bat très fort, je marche vers elle, elle ne me voit pas. Elle nous tourne le dos. Toi, tu souris encore davantage et tu sors ta verge déjà palpitante de ton pantalon. Tu la caresses doucement au rythme de ma progression silencieuse vers le cul de l’insolente qui s’acharne à déboucher la bouteille.

Le bouchon fuse tout à coup dans la pièce et la mousse jaillit, surprenant la petite. Elle se retourne, confuse, prête à s’excuser de sa maladresse. Elle lâche la bouteille à terre en m’apercevant si proche d’elle. Elle rougit, elle bégaie... Que son émoi est joli! Elle fait un pas comme pour se sauver, mais elle s’immobilise. Sa stupeur accroit mon désir : mes seins se gonflent, mes mamelons se durcissent. Elle ne peut détacher son regard du mien. Je la fixe, intensément. Je ne te vois plus, mais je sens que tu es fébrile, que tu attends de moi la preuve de ma soumission. 

Elle ne t’a pas encore aperçu alors je me glisse en arrière d’elle et tandis qu’une de mes mains se faufile sous le tissu de la petite jupe, l’autre empoigne sa nuque et tourne sa tête sans ménagement vers toi. Elle comprend tout à coup quel rôle elle va jouer et je sens sous mes doigts ses cuisses brûlantes, sa chatte humide et douce. Je la pousse doucement vers ta queue tout en dégrafant son chemisier. Elle n’offre aucune résistance. Mes mains se saisissent de ses seins, elles les pétrissent, préparent ses mamelons à ta bouche. Tu es beau. Tu souris. Ta queue dure. J’ai envie de t’engloutir.

Nous sommes maintenant devant toi. Nues. Toutes les deux. À chaque pas qui nous sépare de toi, j’ai enlevé un de ses vêtements. Je pèse sur ses épaules pour qu’elle s’agenouille. Je m’agenouille aussi. Elle me regarde, un peu intimidée. Elle est désemparée. Je prends sa main, je la guide vers ton sexe dur tandis que j’y dépose mes lèvres et que je te prends avec gourmandise et avidité. 

Sa respiration se fait saccadée. Elle est prête. Je t’offre ma proie. Je me recule, un clin d’oeil. Elle comprend. Elle s’exécute, docile. Tu me félicites : «Ma splendide, ma précieuse, tu es ma petite salope adorée.» 


Notre poupée prend plaisir à ta queue, elle a du talent! Le plaisir que je ressens à ce moment est incomparable. Tu gémis, ton corps est parcouru de frissons. Tu ne m’as pas encore touchée, pourtant je sens une grande vague m’agiter. Je résiste à l’orgasme qui monte comme un spasme incontrôlable. Non, je ne veux pas jouir! Pas encore! Pas tout de suite!

Mademoiselle te suce avec délectation, elle entoure ton gland de sa langue agile, la coquine! Ses fesses se trémoussent devant moi et me donnent envie d’y mettre ma langue. Je m’allonge à terre, écarte ses cuisses, me glisse sous son sexe et trouve un petit bouton bien dressé, tout gonflé qui tressaille quand ma langue chaude vient le lécher. Son bassin ondule d’avant en arrière pour m’encourager à continuer. Je la tête, je la titille, je suçote ses lèvres, je me délecte de son jus, je salive, je me régale. 

Elle a délaissé un instant ta queue : «Oui, continue comme ça, oui, continue … Oh oui, c’est bon, continue continue...» Son accent est charmant, elle dit ses «u» comme des «ou».  Elle soupire, elle est proche de jouir.

Tu protestes : «Pas si vite, mes chéries!»

dimanche 16 septembre 2012

Grand Hôtel - Épisode 4


À vous de jouer, Monsieur_ V! 


Tu es maintenant immobile. Tu essayes de t'échapper, mais je te tiens fermement les bras. Tu secoues la tête dans l'oreiller, tu cries "Non" tout en pensant "Oui".
Ton cul ondule sous mes yeux. Il danse. Connaissant ton sens aigu pour la rébellion, je décide à nouveau de nouer tes poignets avec un bas noir. Derrière le dos. Tu ne dis plus rien. Tu attends, ton visage écrasé contre le lit, ton souffle court.




Tu sens ma main qui caresse tes fesses. Elle caresse toute la superficie de ton cul. Douce. Tendre. Et sans prévenir, j'abats la première fessée, puis te caresse aussitôt après. Tes fesses rougissent à mesure que s'abattent les succulentes claques. Le rythme s'accélère, comme tes soupirs. Tu n'as pas mal. En fait, tu aimes énormément cela. Tu adores. Tu attends la prochaine fessée dans un mélange de crainte et d'excitation. Ma main glisse vers ta chatte. Tu es trempée.


Mon sexe est raide à en craquer. Le gland est dur. Tout comme mes couilles. Tu sais ce que je veux. Mais je veux te l'entendre dire. Tu me connais. Tu dis: "Monsieur, enculez-moi, s'il vous plait". Je te demande de répéter ta question. Tu dis: "S'il vous plait Monsieur, je vous en supplie, enculez-moi".


J'écarte tes fesses, caresse ton anus, enfonce un doigt, puis deux. Tout en caressant ta chatte. Tu gémis. Je t'ouvre les fesses et j'entre en toi, sans ménagement. Tu aimes cette sensation de te sentir chienne.
Tu aimes tellement cela que ton plaisir monte vite. Je te chevauche avec force, caressant ta poitrine gonflée, tes jambes, tes pieds. Tu es ouverte, mon sexe entre et sort de tes fesses comme il le ferait de ta chatte. Pendant de longues minutes, tu subis. Et tu jouis. Ton corps tremble.



Tout à coup, on frappe à la porte. Tu te retournes, interloquée, tu me souris. "Tu attendais quelqu'un?", me demandes-tu. Moi: "Non. Attends, je vais voir qui c'est." Je sors de toi, attrape mon pantalon, ma chemise, me rhabille à la hâte et me dirige vers la porte. Je l'ouvre. Une femme de chambre avec un seau à champagne et la bouteille adéquate me demande la permission d'entrer. "Offert par la maison", me dit cette charmante jeune femme blonde tout en entrant dans la chambre. Je referme la porte.

Grand Hôtel - Épisode 3


Et Madame de Florian poursuivit...


Un moment d’effarement, d’affolement, j’ai perdu le contrôle, j’ai flanché, je me suis laissé prendre : à genoux, ligotée, son sexe dur dans ma bouche. Ma langue qui lèche et lèche encore, lentement, attentive à ne négliger aucune parcelle de sa peau. 

Ses couilles dans ma bouche aussi. Gonflées, pleines de la semence qui maculera bientôt mon visage. 
Je suce et engloutis son sexe jusqu’au fond de ma gorge.  

J’entends son souffle, plus saccadé, ses gémissements me rendent folle. Il flatte mes cheveux, pose par moments sa main puissante sur ma nuque me forçant à l’avaler plus profondément. J’ai du mal à respirer, mon esprit se brouille. Je suis à lui. Sa chose. Je me sens pute. Je suis sa chienne. «Ma belle garce. Tu suces aussi bien que tu uses de la métaphore. Tu es ma révélation du printemps. Mon Femina. Ma sexquise... »

Son assurance, sa façon de me regarder et de me traiter comme si je lui devais tout, comme si mon air se prenait à son sexe, comme si mon plaisir ne pouvait exister sans lui. C’est fou. Je divague complètement. Je craque littéralement. Mes repères s’évanouissent et je bascule. J’inonde le parquet de noyer.

Sans ménagement, il me tire par les cheveux, me jette sur le lit, me retourne, écarte mes jambes et enfonce deux doigts dans ma chatte. Je suffoque, je râle, je lui demande de me libérer. Il répond : «Pas encore, salope!»

Je me surprends à aimer ces mots durs, crus… Encore... Plus il me brasse, plus je mouille.

Ma chatte coule abondamment. Je m’entends murmurer : «Prends-moi. J’en peux plus.»

Alors sa queue, large, prête à exploser, remplace ses doigts. Va-et-vient vigoureux, intenses. Chaque coup de bassin me fait hurler. Il me claque les fesses, il me défonce. Sauvagement. Puis il ralentit, prend son temps, explore tranquillement mon intimité. Il effleure de son gland mon point G et, avec un doigté de virtuose, y décide d'harmonies subtiles, compose une symphonie. 

Mon souffle est court. Ma bouche est béante, aucun son n’en sort plus. J’avale l’air comme un animal à l’agonie. Mon clitoris, ma chatte, mes cuisses, mes reins, tout mon corps : frissons et sueur sur chaque centimètre de mon épiderme. 

Je sens son cœur qui bat dans ma chatte, qui résonne dans mon ventre. Son gland cogne le fond de mon vagin, tam-tam qui affole mon coeur.  Mon sexe est une rivière en crue. Mon ventre, un volcan qui rugit. Il plaque sa bouche sur mon sexe, bouche ventouse, avide, goulue, il me mange d'un appétit féroce.  Il me boit. d'une soif inextinguible. Je suis son elixir, sa fontaine, son nectar de plaisir. Je défaille...


Il s’allonge à côté de moi et dépose sa tête sur mon ventre. Il joue avec mes longues mèches brunes, les enroulant autour de ses doigts. Puis, délicatement, le long de ma mâchoire, avec une douceur inattendue, mon visage dans ses mains. Son regard me perce l’âme. Sa voix est tout à coup tendre. Il embrasse mes yeux, mon front, mes joues...

Je dois partir d’ici! Je vais mourir si je reste! Parce que je suis perdue, parce que si je reste deux minutes de plus dans ses bras, je suis finie... 

Je  tourne la tête, je dégage mon visage de son étreinte, je lui refuse ma bouche. Il prend ma fuite pour une provocation. Son regard devient dur. Il ordonne : «Embrasse-moi!» Je secoue la tête. «Non! Je veux pas. Libère-moi.» Il prend chacun de mes mots pour une provocation avouée. Il répète encore une fois. J’essaie de me relever. Il plaque mon corps sur le lit, écrase mon visage dans l’oreiller, relève mes fesses contre son sexe.


«Tu l’auras voulu!»